Alors que le harcèlement scolaire touche plus de 700 000 enfants par an, avec des conséquences humaines parfois dramatiques, le décret du 17 août 2023 répond davantage à une démonstration d’activisme qu’à une prise en compte des enjeux. Ce texte, qui prévoit l’éviction temporaire d’un·e élève, a été fortement dénoncé par la FSU et par les autres organisations représentatives au CSE.